打從剛開始交往,道格和瑞秋就將冒險視為這段關係的一部分。他們和約翰與茱莉不同,兩人對冒險有同樣的認知。但這未必是一件好事。因為他們都喜歡刺激驚險的活動,所以在保險上得花一筆不小的錢。在蜜月旅行時,他們經歷了逼近死亡的驚險經驗,差點就實現了新婚誓詞裡的那句「至死不渝」(until death do us part)。
Violent incendie en cours ce vendredi à 18h30 dans la zone commerciale de Fenouillet, à Pérols, au sud de Montpellier : l'ancien bâtiment de Darty e de Kiabi est en feu
De gros moyens sont engagés ce vendredi soir pour combattre un violent incendie dans l’ancien bâtiment de Darty et de Kiabi, dans la zone commerciale de Fenouillet, en bordure de la route de la Mer, commune de Pérols, au sud de Montpellier.
Als viele Flüchtlinge nach Deutschland kamen und auch Karben Menschen aufnehmen musste, hat die Stadt viele Plätze geschaffen. Sie kaufte unter anderem das Gebäude des ehemaligen Güse-Verlages. Doch nun hat sich die Lage entspannt, die Flüchtlinge können ausziehen.
A n das Jahr 2015 erinnern sich viele Verantwortliche in der Stadt noch sehr genau. Die Zahl der Flüchtlinge, die nach Deutschland kamen, stieg täglich. Die Kreise und deren Städte kamen unter Druck, denn sie mussten möglichst viele Wohnplätze für die Menschen aus Syrien und anderen Ländern zur Verfügung stellen. Da Karben im Gegensatz etwa zur Nachbarstadt Bad Vilbel beschlossen hatte, keine Wohncontainer im Stadtgebiet aufzustellen, mussten die Unterkünfte also anders beschafft werden. Da war es der städtischen Wohnungsbaugesellschaft recht, dass der damalige Inhaber des Güse-Verlages der Stadt sein stillgelegtes Verlagsgebäude im Spitzacker anbot.
In Okarben54 Wohnplätze
Seinerzeit war Otmar Stein Erster Stadtrat in Karben und im Aufsichtsrat der städtischen Wobau. Er schaute sich das Gebäude an und meinte: "Eine gute Lage." Die Wobau kaufte das gesamte Gebäude plus Grundstück. 4441 Quadratmeter beträgt die Gesamtgrundstücksfläche, auf 600 Quadratmeter summieren sich die Flächen für Wohn- und Geschäftsgebäude, hinzukommen 2400 Quadratmeter Lagerflächen.
Das Wohnhaus sei in gutem Zustand, sagte Stein seinerzeit. Mit nur geringen Mitteln sei das Wohn- und Geschäftsgebäude zu einer Flüchtlingsunterkunft umzubauen.
Bei weiterem Bedarf hatte man im Nebengebäude der ehemaligen Druckerei noch für weitere zehn bis 15 Personen Wohnplätze geschaffen. Auch die notwendigen Nebenräume waren vorhanden. Letztlich haben am Spitzacker 54 Plätze für Flüchtlinge zur Verfügung gestanden. Aktuell sind nur rund die Hälfte der Wohnplätze belegt, wie aus einer Antwort der Stadt auf eine Parlamentsanfrage der Freien Wähler hervorging. Auch in anderen Flüchtlingsunterkünften ist momentan viel Platz, seit sich die Zuwanderung deutlich abgeschwächt hat.
Verhandlungenüber Firmennutzung
Derzeit wohnen nach Angaben von Bürgermeister Guido Rahn (CDU) rund 90 Flüchtlinge in den noch fünf Unterkünften der Stadt. "Ohne den Spitzacker können wir 114 Flüchtlingsunterkünfte bereitstellen", teilt er auf Anfrage dieser Zeitung mit.
In Spitzenzeiten hatte man für rund 240 Flüchtlinge in sieben Objekten Unterkünfte bereitgestellt. "Dies zeigt den deutlichen Rückgang, zumal kaum Neuaufnahmen zu verzeichnen sind."
Ohne den Spitzacker? In der Tat plant die Stadt, die in Okarben noch verbliebenen Flüchtlinge - unter ihnen 13 anerkannte Asylbewerber - woanders unterzubringen. Damit würde der Spitzacker in den nächsten Wochen geräumt und stünde für eine andere Nutzung zur Verfügung. Dem Vernehmen nach aber nicht für Wohnzwecke. Denn Otmar Stein steht bereits wegen dieses Gebäudes wieder in Verhandlungen. Dabei geht es dem Vernehmen nach um die Ansiedlung eines Gewerbebetriebes mit rund 50 Angestellten. Ein Gewerbetreibender habe großes Interesse an dem Objekt gezeigt, hieß es am Rande einer Ortsbegehung in Okarben.
Stein teilt auf Anfrage dieser Zeitung mit, nachdem nun die Flüchtlingszahlen stark zurückgegangen sind, habe das Gewerbeobjekt Spitzacker 10 seinen Dienst erfüllt. "Da die Wobau sich nicht unbedingt mit der Vermietung und Unterhaltung von Gewerbeimmobilien beschäftigen will, sondern der Schwerpunkt im Wohnungsbau liegt, haben wir uns um den Verkauf dieses Objektes bemüht, zumal jetzt wieder Rückbau und Sanierungskosten angefallen wären", betont Stein.
Die Wobau will das Objekt nun also veräußern. Man stehe kurz vor Vertragsabschluss für das gesamte Anwesen an ein Unternehmen aus Frankfurt, welches eines seiner Tochterunternehmen mit rund 50 Mitarbeitern nach Karben umsiedeln werde. "Damit hat die Wobau wieder zusätzliche Liquidität für die anstehenden Wohnungsbauvorhaben", teilt Stein abschließend mit.
Als Ende Mai die Freien Wähler (FW) eine Antwort des Magistrats auf ihre Anfrage vom März erhielten, bekamen sie auch eine Liste mit den Zahlen. Denen zufolge gab es am Spitzacker in Okarben 26 freie Plätze für Flüchtlinge, in der Bahnhofstraße 37 waren es drei, im Fasanenhof fünf, und in den beiden Gebäuden in der Max-Planck-Straße acht beziehungsweise zehn freie Wohnplätze. In der Statistik ist auch verzeichnet, dass in den Flüchtlingsunterkünften im Stadtgebiet 35 anerkannte Flüchtlinge leben. Weitere 104 befanden sich in laufenden Asylverfahren. Anlass der Anfrage der FW war übrigens die Übernahme der Flüchtlingsunterkünfte durch den Wetteraukreis. Der Magistrat teilte mit, dass eine Unterkunft aufgegeben worden sei, da kein Bedarf mehr bestanden habe.
Das Haus in der Bahnhofstraße 37 sei Anfang des Jahres durch den Kreis übernommen worden. Von den vier verbleibenden Gemeinschaftsunterkünften soll eine weitere - eben die am Spitzacker - aufgelöst werden. Die dort verbliebenen Personen würden in andere Unterkünfte umziehen. pe
July 31, 2020 at 10:00AM
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Flüchtlinge verlassen Güse-Gebäude in Okarben - Wetterauer Zeitung
요즘 세상이 참 어지럽습니다. 여기 저기 밥그릇 싸움에 정신이 없습니다. 누가 잘하고 못하고를 떠나 정치인들의 마주치는 손뼉에 서민들은 귀청이 찢어지고 오금이 저립니다.
이럴려고 정치에 입문했을까요? 처음에는 국가와 사회를 위해 헌신하겠다는 각오였을 것입니다. 열심히 한 걸음씩 나아갈때마다 이름이 알려지고 같은 생각을 하는 사람들과 힘을 합쳐 힘을 키움니다. 그러다보니 자신이 가진것보다 얻는 것이 많아졌습니다. 덩달아 높아지는 벼슬은 당연한 결과라고 생각이 했겠지요. 주변에 온통 아첨하는 사람들로 넘쳐나고 이들의 세치혀로 귀가 즐겁습니다.
초심(初心) . 국어사전에는 ‘처음에 먹은 마음’이라고 씌여져 있습니다. ‘초심을 잃지 않겠다’ 어떤 일을 시작할 때 각오를 다지는 마음을 표현 할 때 주로 쓰입니다.
작고한 소설가 최인호의 소설 상도(商道)의 주인공 임상옥은 계영배(戒盈杯)를 사용했다고 합니다. 잔의 7할 이상을 채우면 술이 밑으로 흘러내려 ‘넘침을 경계하는 잔’으로 알려져 있습니다. ‘과욕을 하지 말라는 뜻을 지닌 술잔’입니다.
요즘 활동하고 있는 정치인들의 옛사진들을 찾아봤습니다. 누군지 알아 보시겠습니까? 당시 사진속 이분들은 어떤 생각을 가지고 있었을까요? 최소한 이분들의 초심이 이루어진다면 최소한 지금보다는 나라가 행복해지지 않을까요?
Si la nouvelle municipalité a refusé le permis du projet d'immeuble sur le site de Pasteur, elle ne veut pas l'arrêter pour autant. Mais exige des ambitions environnementales supérieures.
Le projet prévoit la construction, au bord du Clain sur le site d'un pavillon de l'ancien hôpital Pasteur, d'un immeuble de 50 logements sur au moins trois étages. Le moins que l'on puisse écrire, c'est qu'il ne fait pour l'heure pas l'unanimité: d'une part, parce que des riverains, soutenus par le comité de quartier Autour du Pont Neuf, se sont déjà mobilisés pour s'y opposer, rassemblements et pétition à la clé; d'autre part parce que la nouvelle majorité municipale vient de retoquer le permis de construire en l'état (voir notre édition de lundi).
D'autres dossiers examinés aujourd'hui
Pourtant, cela ne signifie pas que le projet n'aboutira pas. Mais s'il voit le jour, ce sera inévitablement sous une forme revue et corrigée. « On était obligés de donner un avis puisque l'instruction du permis de construire arrivait à échéance le 27 juillet. Si l'on n'avait pas pris position, cela valait une acceptation tacite », explique Lisa Belluco, nouvelle conseillère municipale déléguée à l'urbanisme, qui a déjà rencontré tant les opposants que le promoteur poitevin du projet. Ce dernier devra donc revoir sa copie, trouver un compromis et pourrait être en mesure de déposer un nouveau permis à l'automne prochain. « On a voulu engager un dialogue très rapidement, explique l'élue. Il s'agit de faire en sorte que le bâtiment soit le plus vertueux possible: améliorer sa qualité environnementale, et la prise en compte de la biodiversité (par exemple en prévoyant des nichoirs pour les oiseaux et chauve-souris, à l'inverse des constructions neuves toutes lisses). » Pour autant, le projet n'a pas que des défauts aux yeux de la Mairie: « On est déjà sur une zone imperméabilisée, alors certes, le bâtiment va monter un peu en hauteur, mais il ne dégrade pas le milieu, n'empiète pas sur les berges du Clain et la surface d'espaces verts sera même un peu augmentée par rapport à aujourd'hui, assure Lisa Belluco. Depuis Jacques Santrot, il y a eu une vraie politique foncière sur les terrains au bord du Clain mais là, l'ancienne municipalité n'a pas voulu racheter ce bâtiment vendu par le Crous. Or, le bâtiment est amianté et les coûts de déconstruction-dépollution sont énormes, ça nous arrange qu'un promoteur les prenne en charge. »
Faire de Poitiers
une « vitrine »
Pour autant, si le temps était compté sur ce dossier précis, la nouvelle municipalité veut utiliser une autre méthode au cours de son mandat: « Dès ce vendredi (NDLR : aujourd'hui), je vais examiner d'autres dossiers qui arrivent à échéance d'ici le 15 août, annonce la conseillère chargée de l'urbanisme. Mais à l'avenir, on souhaite ne pas en arriver là, et rencontrer tous les acteurs bien en amont, avant que les permis soient déposés. » Dans tous les cas, le souhait municipal est de faire monter le curseur des ambitions environnementales pour tous les projets de nouveaux bâtiments collectifs. « Ceux qui sont déjà déposés seront acceptés s'ils collent avec nos ambitions, assure Lisa Belluco. Mais notre objectif à terme est de faire de Poitiers une vitrine pour les bâtiments écologiques. »
July 31, 2020 at 10:02AM
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Projet Pasteur: la Mairie exige un bâtiment plus écologique - Centre Presse
Le bâtiment 9 avait été endommagé par un incendie survenu le 14 avril 2019. L'importance des dégâts l'a rendu impropre à la location, « les études réalisées n'ont pas permis de retenir une solution de réhabilitation. D'où la déconstruction », explique une responsable de la société gestionnaire.
Au moment de l'incendie, cinq logements étaient occupés. Des relogements ont été proposés aux locataires, quatre ont été relogés sur le parc de la société.
Du PLM à Habellis, plus de 80 ans d'histoire
Ce bâtiment était l'un des dix de la cité construits au milieu des années 30 par la Société des chemins de fer Paris-Lyon -Méditerranée (PLM).
Neuf bâtiments ont été érigés sur le même modèle abritant six logements (les numéros pairs et le 9) et neuf logements (les numéros impairs) comprenant trois niveaux, le premier correspondant au premier étage.
Le dixième, implanté le long de la route de Pressures, en comprenait deux qui étaient réservés au chef de district et au chef de canton soit un total de soixante-huit logements. Lesquels, fait rare pour l'époque, étaient pourvus de l'eau potable et de sanitaires et ce, grâce à un château d'eau implanté dans la cité.
« L'eau était pompée au Maroc, entre l'Yonne et le canal du Nivernais, à proximité de l'usine SPCC (Solvay actuellement) et acheminée par une canalisation », explique Julien Angerand, octogénaire qui, enfant puis adolescent, a habité avec ses parents dans la cité pendant près de vingt ans, après la Seconde Guerre mondiale, avant de reprendre, à son décès, le logement de son père, cheminot, résistant (il a été membre du comité local de la Libération et conseiller municipal fin août 1944).
« Parfois, l'été, le débit était faible », se souvient-il, avant de raconter que son père qui, avant d'entrer au PLM, en 1937, était maçon et avait construit les fondations du bâtiment 7.
La cité était également pourvue d'un lavoir qui comprenait deux cuves. À l'inverse du château d'eau qui a été démoli, ce petit bâtiment existe encore mais n'est plus fonctionnel.
« Lorsque mes parents ont emménagé en 1946, il y avait une liste d'attente et tous les cheminots n'y habitaient pas », explique Julien Angerand.
Un logement était réservé à un gardien qui s'occupait de l'entretien des parties communes et des espaces verts.
Rue Hubert-Giraud
Au fil du temps, certains bâtiments ont connu des modifications et réaménagements. Le bâtiment 6, qui comprenait six logements, a été transformé pour n'en compter plus que trois. De même, le bâtiment 9 a subi aussi des aménagements pour accueillir des cheminots célibataires d'où son nom de "bâtiment des célibataires".
De cité PLM, elle est devenue cité SNCF, après la nationalisation des entreprises ferroviaires qui a donné naissance, en 1937, à la SNCF. Dans les années 80, nouvelle appellation, elle devient La Sablière, du nom d'une société anonyme HLM du même nom, basée à Paris. En 2000, la résidence est rachetée par Logivie (ex-SA d'HLM de la Nièvre), laquelle société devient Habellis en 2018.
En revanche, le nom de la rue qui dessert la cité est resté. Elle s'appelle toujours Hubert-Giraud. Né à Nevers en 1865, mort à Marseille en 1934, député des Bouches-du-Rhône de 1919 à 1924, il a été, entre autres, membre du Conseil supérieur des chemins de fer.
July 31, 2020 at 11:00AM
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La déconstruction d’un bâtiment de l’ancienne cité SNCF a été menée jusqu’au début du mois - Le Journal du Centre